Le Yéti.
10 h 45 Cdf de Penent, de son hôtel qu’il doit libérer à midi. Le cabinet Th. Lévy ne l’appelle pas. Il rappelle. On lui promet de la rappeler. Arrive vers midi à la maison. Ne veut pas déjeuner, bourré d’amphétamines. Vers 14 h l’avocate déléguée téléphone : l’affaire n’est pas remise ; elle va être plaidée. P. se voit condamné à 5 ans, dix ans. Part vers 14 h 30 chez Th. Lévy.
19 h 30 Cdf du cabinet, que P. appelle. 19 h 45 il arrive. Téléphone. Il a Th. Lévy qui lui apprend qu’il est condamné à 20 000 F d’amende (et non à 10 ans comme il le croyait encore ce matin). Veut faire appel, mais repart en Ariège plus détendu. Ne parle plus de se flinguer. RV avec Lévy la semaine prochaine (lequel, parlant de moi, dit que je ne lui ai jamais fait signe, jamais envoyé un mot, etc. « Trop froid » suppose Penent).