Pluie.
Un peu travaillé l’apréms.
Le Matin paru. Pas bon.
Catégorie : mars 1977
Travaillé.
Cdf du Matin : une secrétaire me demande de la part de Cuzin où en est mon papier (celui que j’ai donné lundi).
Cdf de Cuzin : il ne s’agit pas « du » papier. Il s’agit « des » papiers à venir – dans l’avenir, dit-il.
Vu Cuzin prêt à prendre 4 ou 5 papiers par mois. Ferai les éboueurs puis Hess à Spandau (a tenté de se suicider il y a quelques jours). Ouverture pour Penent, à qui j’en parle vers 4 h rue François 1er – leur nouvelle installation.
Après dîner, au centre Beaubourg. La grande impression vient des dégagements autour de la « raffinerie » et des façades anciennes qui l’entourent. Vu une pièce de Vinaver « Iphigénie hôtel » – quitté à l’entracte.
A 9h30- Syndicat C.F.D.T des éboueurs.
L’apréms, travaillé au livre.
Levé 4 h 30. Métro fermé. Taxi. 5h45 maitie du XVé: R.V. avec le conducteur de benne Raymond Gamel. Embarqué dans la cabine. Un Sénégalais, un Algérien, un Français derrière. Blomet, Lecourbe, Vaugirard. Encore la nuit. Fin de la tournée. Le caveau devant la mairie. Puis, l’usine d’incinération située à Issy. Retour à l’atelier (garage). Imposture devant le chef qui m’interroge : je suis employé des impôts, CFDT, etc… Café avec Gamel et les membres du syndicat. Rentré 10 h 30.
Papier éboueur.
Assez beau.
Porté papier au « Matin ». Ni Cuzin, ni Feigold. Laissé la chose. Vu Mme Dallemagne, désabusée.
Déjeuner chinois avec Penent (il a obtenu ses indemnités plus le chômedu éco plus un an de formation).
Élections municipales.
Beau et froid.
Corrigé papier éboueurs – reçu par la poste. Téléphoné à Cuzin qui veut m’en redemander d’autres. RV demain
Après diner, Manu monte nous voir. Elle me dit « qu’il est bien mon article dans le matin ». Vérification faite: « la Seine » a paru dans le numéro d’aujourd’hui.
Au Matin. Vu Cuzin. Le journal se maintient après une chute brutale à 100 000. La pige sera réglée à la fin du mois. Remis les éboueurs corrigé. Projets : Hess, prisons (avec visite autorisée), postiers. Rencontré dans le 85 en venant, Rajak qui travaille au théâtre français (avec Rosner). Très amer contre Hocquard qui ne l’a pas aidé à venir à St-Naz. Un peu déprimé par des affaires personnelles à Lyon.
Déjeuné avec Anne Riquier, retour d’Inde, cherchant du travail. Penent propose un poste d’adjointe de Marie-Hélène Camus. Me signale un article de Libé signé d’Ali, anti gattien. Me l’enverra.