Partis pour Ré.
Catégorie : mai 1971
Paris à 22 h 30. Reçu contrat Stock. Léonin !
Journal. Rédigé, signé et envoyé lettre à l’ambassade de Chine (visas demandés).
A la gare, cherché Dominique Dubreuil (St-Etienne).
Appris par F.S. la mort de Vialatte à 70 ans. On l’avait eu à dîner il y a quelques mois rue Custine.
Cdf d’Attoun. Eludé autant que je pouvais.
A 4 h chez Fasquelle pour réactiver Gerstein. En vain.
9 h train de Vichy-Ambert à Austerlitz – avec Damamme. 16 h 30 juste à Ambert comme le arrive à la porte de la cathédrale, avec Pierre Vialatte. Puis, le journal : Castans, Merlin, Pepeloux. Cérémonie. Repris la route de Paris avec la DS du corbillard avec Damamme, une jeune fille (dont le père était un ami de Vialatte), plus le chauffeur, type assez étonnant. D., mal logé au fond du fourgon verdit. On s’arrête. On repart. A Vichy, on quitte la voiture pour le train de Paris. Dîner à bord. A.P.ris à 23 h 8.
Relu « Chant public » de Dante pour un éventuel papier.
Cdf de Stéphane. Voudrait la clé du 18 bis pour dépanner des copains. L’ai envoyé sur J.L. Pays (qui l’a – mais ne la lui donnera pas parce que D. ne voudrait pas que les amis, un peu drogués par exemple, ne mettent à feu ses quelques papiers).
Tél. St-Etienne (J.L.M.). Les prétentions attouniennes l’amusent un peu. Pris RV avec Attoun pour jeudi.
Visite de Stéphane pour carte d’identité et passeport. Est passé sur les Champs-Élysées et a vu, gardé par la police, le magasin Renault. Riait.
5 h Attoun à la maison. Discussion serrée sur la publication.
Reçu lettre de Bousset (avec une critique de Gerstein dans le Washington Post). Rédigé une réponse à Monsieur le critique.