Catégorie : octobre 1994

Lecture : 3 psychanalyses (Schreber).

Cdf de Beï à 18 h. Elle est arrivée à Quimper Tréboul (hôtel Thalassomic) venant de Gavres.

Gris, pluvieux. Allé chercher billet à St-Lazare. Déjeuner à la pizza Custine avec Peter Kunze. Lui ai donné à lire et traduire les lettres de Schweitzer. Allé chez Vermandel : me pose une bande élastique (sorte de plâtre minoré) au pied.

Clair et bleu le matin. Froid. À 15 h 15, chez le Dr Parent, pl. Clichy pour renouveler mes médics, et diminuer ma nervosité du matin.
À 18 h, Christophe Loyer dans son atelier (rue St-Sabin). Sa femme, sa sœur avec un bébé de 5 mois, Ringart Nadia. Rentré tôt.

Froid. Rentré les plantes – dont le « Sourire de Zanzibar ». Suicide collectif d’une secte en Suisse (Rose-Croix ?).

Allé chercher billet retour de Quimper (à St-Lazare).

Beau. Froid. Le train à Montparnasse pour Quimper (11 h 20). Arrivée Tréboul vers 16 h. Promenade au soleil, le long de la côte.

Très beau temps, plein de soleil. Une femme sur le sable, les seins à l’air. Depuis hier, changé de système : le Prozac hier matin, vient le soir. Rien ce matin ; j’en prendrai un tous les soirs – dont ce soir.

Mal fichu. Abandonné le « système ». J’en prendrai un tous les matins. Pour le soir, on verra. Tout vu : 1 comprimé aussi le soir. Mieux.
Vers 20 h Le Querrec et Szécia venus nous prendre. Dîné à Douarnenez au Tristan.

Gris mais pas froid. Pas bougé. Soleil l’aprèms. Beï pleure : découragée, dit-elle. (Mais je n’y crois pas.)