Corrigé les épreuves.
Catégorie : mai 1965
Rendu les épreuves à Mme Denaria, rue de Seine 57. Chez TSP aux Presses de la Cité, m’introduit chez Nielsen – qui avait déjà reçu V. Vence, St Jean (presque fichu à la porte) et recevait de nouveau Vence avec le photographe. Conversation.
Journal. Vu Pottecher, venu prendre des photos de Dallas.
La brochure sur les massacres d’Arménie : voilà où Hitler a puisé le plan et les moyens du génocide ! Cdf de Dante à 11 h pm du Kalymnos : « Veux-tu faire le journal du Grenier ? »
Vu Th. De Clermont-Tonnerre pour l’affaire Nielsen. Cdf de Sarrazin. Le journal du Grenier. Je donne un accord mitigé.
Papier Nielsen : horrible à faire – d’ennui !
Remis le papier. Ce n’est pas ça ! Je refuse de le refaire. Barrat s’en charge. Vu dans les couloirs avec Barrat: Dominique Darbois, retour après 7ans de Tunisie etc…
Conférence PM : R. Thérond me demande, un peu gêné dit-il, ce que je pense d’un numéro sur Pétain. Je le dis. Tournoux aussi consulté.
Roger Vaillant mort d’un cancer au poumon (57 ans). Thérond me demande le papier. Refusé – à cause du father.
Lecture de « Sorge » – en épreuves pour l’Express. Excellent bouquin (encore que Mme Cl. SS le trouve mauvais !).
Corrigé les 2e épreuves d’Alcatraz.
Concert salle Pleyel. Boulez pas là. Vu B. Saby et Danielle, H. Michaux, Souvt.
RV à l’Express avec Bruno Mounier administrateur. JJSS n’a pas voulu me dire lui-même les décisions prises : en raison des charges trop lourdes, passage du prix à la pige (« plus importante évidemment le cas échéant »). Il a été un peu surpris de mon acceptation immédiate.
Téléphoné à Gatti ce soir (après cdf pressant de Sarrazin au sujet de son journal).
A 7 h chez Monloup pour y retrouver Dante. Il y avait au bas de l’escalier Hélène Châtelain, dans l’appartement Pépi Schmidt et sa cousine, et Dante, cherchant à fuir pour aller retrouver la 2e, Claudine (du théâtre d’Aubervilliers et de la rue des Panoyaux). Allés dîner tous les quatre (Pépi, Monloup) chez le Grec. Puis, resté seul avec Dante, sous prétexte d’aller à Bourges avec lui. Longuement parlé : de Stéphane, des parents, des amis, etc. L’ai raccompagné vers minuit rue des Panoyaux.