De plus en plus grippé. Fini mon papier. Chez Selim, achat moustiquaire, etc. Conversation le soir avec le père Maufrais : « Ma femme vous en a voulu… mais quoi, elle et vous, moi et vous, nous ne parlons pas le même langage ».
Catégorie : 1952
10 septembre 1952
Maufrais parti à Belém avec le Ju 88 pour son fusil et son revolver.
11 septembre 1952
Journée Selim – envoyé lettre P.L., Labarthe, Clichy.
Vu Melo, directeur du journal Amapa : il y a beaucoup de journalistes de Rio qui viennent pour Maufrais.
12 septembre 1952
Vu, chez Chavez, le carnet de R. Maufrais « Qui ose, gagne ». Maufrais resté à Belém. Journaliste brésilien, José Montenegro (a pris des photos). Chez Selim, rédigé discours pour le préfet « Le respect mutuel est le gage de ce contrat mutuellement consenti ». (Vive la France ! Vive le Brésil !)
13 septembre 1952
Cocktail avec ? à l’hôtel. Dîner chez le gouverneur avec les députés et les généraux. Bal à la Cortaleza. Maufrais à Belem, toujours retenu.
14 septembre 1952
Maufrais revenu. Mis Maufrais en contact avec Vignon.
Décoration sur le stade, après natation. Le soir à la forteresse.
Arrivée, avec M., d’un ancien d’Indochine, M. Vandevelde.
15 septembre 1952
Avec Maufrais, Decaunes, Max Petit, Le Prado, Vandevelde et Georges Gerbaud, chez Vignon. V., de nouveau, prévient Maufrais. Zéro.
Travaillé papier – Bal – Pas dormi.
16 septembre 1952
Envoyé papier par avion présidentiel. De l’agitation dans l’équipe : Corse, Hongrois et barbu ne veulent plus de Brésiliens. Le journal brésilien fait des manigances. Le barbu a menti plusieurs fois dans son récit.
17 septembre 1952
A l’équateur, photos.
18 septembre 1952
Coup de théâtre à 15 h 30, le gouverneur refuse la mission officielle. Maufrais persévère. Atmosphère de drame. Radio le matin.