Cdf de Gatti. R.V. chez Georges après déjeuner pour aller av. de Versailles, puis à Nanterre (dernière de la Cigogne – qui va ensuite être jouée à la Cité universitaire). Emmené Ariane. En voiture. 16 h Nanterre : Dante, José Mario, Georges, sa fille, la serveuse, J.-L. Pays et les siens. Vu aussi Helmann dans la salle qui me dit : « Toujours vivant ? Ah ! tu vaux 2 F sur les quais : tu sais, Alcatraz… ». La pièce bien mieux jouée. Débat ensuite – avec Debauche. Ramené bd de la Bastille où Stéphane l’attendait depuis 8 h (il est 9 h).
Cdf de Séligny. Songe à amener Ménager: j’approuve. Ménager a téléphoné à la mère à St Do: les mensonges de cette femme l’ont écoeuré.
Catégorie : 1971
Fait le papier Sacco toute la journée.
Radio RTL 7h30 Béatrice Le Mire partie avec Séligny pour la France.
15 h 30 salle Pleyel. Rencontré dans le hall Souvtchinsky. Avec lui et P. de Beauvais, vu Boulez qui nous reçoit dans un salon Empire, morne et poussiéreux. Parlé de Stravinsky, de Richter.
Vers 20h cdf de Slede, D.Farran et Perrier: ils arrivent bien demain matin. Récit de l’affaire. Les craintes pour l’arrivée. Faire venir le comité. Placer Béatrice chez l’avocate.
Cdf de J. Michaud : il a un fils, Pierre. Travaille avec Vadim.
En voiture avec Litran à Orly. Arrivés en retard. L’avion était là depuis 6 h 30. Flashes. Vu S. et Béa, plus Gomel, Clavel, de Félice, Me Pélissier, etc. Litran, égaré ne fait rien. Rentrés à PM.
Appris que Gilles Sandier rewrite des papiers politiques à PM !
Vu Dubois – qui est content : le Pétrus le recevra demain à l’hôtel.
Attendu cdf pour le R.V. Séligny dans mon bureau. Avec Litran et Normand, Gomel nous attend à une porte de service. En haut, Séligny, Béa qui lit des journaux sur son histoire, l’avocate Pélissier, Sophie Eve Hocquard. Séligny s’est posé une bouillotte sur les reins, la montre. Se fait donner la becquée par Sophie, puis par Béa (de la raie).
A l’imprimerie pour le papier Le Mire. On m’y apprend que Jean Vilar est mort. (Pensé à Gatti à qui il avait écrit après l’échec du « Crapaud-Buffle » une lettre que Gatti – chose rare ! – avait gardée.)
Gris
Achevé les Gens de blâme (sur Séligny et ses disciples).
Continué le Tch’an (Hermés)
Ping pong
Le soir à la TV, « le trésor de la Sierra Madre » pour la 3é fois.
Trés chaud.
à déjeuner Ariane Ilyn (qui a lu Gary 2 cahiers et trouve que c’est plutôt un personnage qu’un écrivain).
Carte de Gatti : 3,14 et Rosalux vont peut-être coexister à Kassel l’an prochain.
à 16h30 dans 1 galerie de la rue Guénégaud, cocktail d’adieu et de remerciement de Béatrice et de Séligny. Vu: Pelissier, Tenman, Leclerc avocats (Leclerc avec des gauchistes, très sympathique), Séligny toujours habillé à ravir, Béa vrai oiseau de paradis, Pottecher, Perier-Deville (inquiet: Minute attaque Séligny et Robinet prend peur) et le chien Malik.
Décidé d’aller à Lyon. Changé d’avis à la gare: pas de train avant 9h (Lyon 2h!) et pas d’hotel et pas de pyjama dans la valise.
Train pour Lyon. Dejeuner avec JJ et Françoise Vacher dans un bouchon.Puis St Etienne.La Ricomanie avec Françoise Vacher et JJ. Débat au gymnase Gagarine.
De là, à St Etienne, première sous le chapiteau (à la Vinaigrerie): les frelons, adaptés des guêpes d’Aristophane. Puis au café sur la route (avec un extraordinaire limonaire) réception au rouge et au pain de campagne. Couché chez P. Vial à la maison Le Corbusier de Firminy. 3h du matin après discussion sur 3,14.
Réveillé et levé à 5h30 par Vial. En voiture à St Etienne où nous attendent J.B. Manessier et JJ. Manneval (notre interlocuteur). Visite de Creusot Loire ( acièrie, laminoirs..) De main cgt en main CGT en dehors des cadres. Reflexions sur les gauchistes. Sortis vers 9h.
Maison de la Culture puis gare avec J.B. Parlé de 3,14. Train pour Lyon 12h.
Paris: 17h50. Gris