Soleil.
17 h rue des 5-Diamants, théâtre « Les Justes » (Camus). Chevalier joue. Mauvais théâtre. Au café ensuite avec Chevalier, Jacky Moreau, Delannoy et une amie à lui, Marine Bernard ( ?). Revenu avec des manuscrits de Delannoy et Jacky.
Lecture : L’Homme qui devint dieu » (Jésus).
Catégorie : 1990
22 janvier 1990
Gris. Pluvieux. Fatigué. Travailloté au « Grand Jour » (courrier interne). Lecture. Bhagad Gita (d’Aurelbindo).
23 janvier 1990
Envoyé 600 F aux Truc, pour le nouvel an vietnamien. Bien dormi. Reposé.
Montreuil. Déjeuner avec Stéphane et Claude Pfeiffer. Puis travaillé avec Stéphane : réinjecté des nouvelles.
Vers 19 h, mangé un sandwich au Rialto avec Thomas (Harlan). De là, à Boulogne. Projection du bout à bout de son film haïtien (Souvenance). 3 h. Beau, juste. Rentré en taxi : ils allaient dîner, avec Anna et les autres, et discuter d’un accident technique sur la bande (une histoire de numéros imprégnés sur la pellicule). Vent et pluie. Lecture : « Le Vieux Joseph » (Marc Nacht) prêté par Mireille Peninou.
24 janvier 1990
Ciel lavé. Bleu. Envoyé un mot à Thomas (porteur). Cdf à Auclair pour « Grand Jour » (origine de « sa chatte le griffe, il se suicide »).
Bureau de Fournel, rue Falguière : discussion avec lui et Sylvain. Puis déjeuner avec, en plus, Delannoy.
25 janvier 1990
Vent à la hurle-vent. Consolidé treillage. Visite d’Alain de Moyencourt. Cdf de Garraud (Libération) pour introduire un copain qui veut faire un film sur Hemming – lequel téléphone 2 minutes après. RV après lundi.
26 janvier 1990
Tension 13,7/8,3. Pouls 85. Le courrier interne (Grand Jour).
27 janvier 1990
Grand Jour (courrier et ménage personnel).
28 janvier 1990
Toujours le courrier interne.
Terminé lecture « L’Homme qui devint dieu » (G. Messadier). Le roman de Jésus.
29 janvier 1990
Cdf à 9 h de Peter (de Berlin). Élections de Berlin avancées au 18 mars (la Commune de Paris !). Viendrai-je avec lui ?
Cdf à 14 h de Nadine ? : Le Bolzer va mourir. Aller le voir après avoir contacté Monique. 15 h 30 visite impromptue de Truc. Se fait du souci pour ses deux petits frères qui vont arriver en France et qu’il voudrait voir venir au foyer (13 et 15 ans).
18 h Téléphoné à Monique Le Bolzer – et Guy pour aller le voir.
30 janvier 1990
Téléphoné à Monique au Point. Venir à 14 h. Croisé Julie, la fille qui partait pour le lycée. Monique m’a installé sur une chaise au bout du lit. Guy couché, tête rose, maigre, buvant de l’eau – triste, peu parleur, somnolent parfois. Songe à s’installer à Millau (« Julie comprendra. Montpellier n’est pas loin »). Resté jusque près de 17 h. Croisé sur le trottoir en sortant Nadine qui prend le relais.