Arrangé le dessous de la vieille Japy – qui glissait sur ma table. 30 au balcon. 35 au grenier.
Catégorie : août 1990
Très chaud. À La Route. 11 h 30. Vu Mme Moralès, de l’agence pour la vente. Quelques gouttes (rares) au retour. Arrosé le rhodo, le saule.
Cdf de Georgio – de Berlin. A trouvé des choses sur K.G.
Vers 14 h 30, visite de John Ireland (le jeune prof de l’Oklahoma qui travaille sur Gatti). Allé chercher ensemble à la cave les cahiers de Gary Hemming. En parcourt quelques-uns. Pas convaincu, semble-t-il. Parlé ensuite du génie (de Dante), de l’Angleterre, de Churchill, dont je lui dis qu’il est le 1er résistant de France (de Gaulle, le 2e), de son éducation anglaise, du Canada où il a vécu, de Strasbourg où il a étudié et fait l’expérience d’une amitié (inconcevable selon lui au Canada).
Sauf faiblesse ou sottise, toujours menaçantes, le dictateur irakien craquera. Sa télé l’a montré ces jours-ci en Tyrolien (une volonté d’imiter Hitler qu’on a vu aussi dans cette tenue).
La température baisse. Mais pas encore de pluie. Travailloté. Cdf d’Hocquard : le G.J. s’est vendu à 1 000 au moins. Donné coordonnées du professeur Benhamou (pour Dante, qui souffre d’une 2e hernie, prise pendant le travail à Marseille).
La pluie vers 11 h. Revu, un peu retouché, une vingtaine de poèmes (des années 80). Dans « République », une note de Penent sur le Grand Jour.
21° dehors. Écrit à Penent. Reçu de Féral (l’ancien d’Ariane) un livre de Mullen traduit par lui « Pour mieux vivre sa mort » (anthologie tibétaine).
Pluvieux. Déjeuner au passage avec Beï et Rachel (inquiète pour Israël). Vers 20 h, à son retour du magasin, je dis à Beï : « La guerre est pour tout de suite ». Ensuite, chez Marion Scali, avec les Hocquard, les Kravetz, plus le fils de Scali, deux jeunes journalistes de Libération, attendu en dînant l’annonce. Pas faite.
Pas bougé. Rien fait (à peu près). À l’écoute du Golfe.
Cdf de Devayani qui travaille pour six mois à Newcastle. En vacances. RV à un déjeuner un de ces jours. Pédicure (remplaçante).
Chez Ramsay. Pour le « Parfait amour », mis au pilon (j’en ai racheté 30 à 14 F). Déjeuner avec J.C. Gourevitch au Lutécia. Me tâte au sujet de mes reportages : éditables ? Oui. Le titre est inchangeable : Croquis de l’éternité. Lui enverrai le « Mary ». Parlé du Lac – dont il trouve le thème magnifique.
Dîné Custine avec Gilbert venu de Cannes et y repartant.
Envoyé le « Mary à J.C. Gourevitch. Pas travaillé. Écœuré. Incertain : le Lac ? la « Gloire » ? une pièce ? Des faux-fuyants.