Cdf à Th. Lévy. « J’ai perdu votre procès ». En plus, le tribunal alloue 15 000 F de dommages à Volkoff ! Cassation.
« Elle ». 15 h. Donné manuscrit de Meynard à F. Ducoup.
18 h Penent. Avec lui et Fabrice, à la fête au 1er ss (à l’occasion du nouvel an) jusqu’à 21 h. Rencontres diverses, des « gens du groupe » dont Coral – plus tard, Anne-Noëlle qui part pour l’Inde bientôt.
Cdf ce matin aussi de Clerc qui irait à Toulouse.
Catégorie : janvier 1984
14 janvier 1984
Pluie. 11°.
À Ozoir, agence immobilière. Pas conclu : ils veulent construire une maison en bordure de route, vendre la vieille, faire deux entrées. Des tas de voitures en panne remorquées – et une en flammes sur le périphérique.
12 h 30. Un arc-en-ciel au nord du grenier Custine.
15 h visite de Daniel Meynard. Parlé de son livre. D’accord pour ce que j’entreprendrai. Arrivée des Pays, avec un cadeau (une affiche de l’Enclos) et un scénario de Michel Strogoff (transsibérien). Grand vent toute la journée.
15 janvier 1984
Ciel nuageux, avec des bleus ça et là. Balayé, lumineux. Toutes les collines.
16 janvier 1984
Dentiste 9 h 30. Lettre d’Anne Le Moal : refus de mon texte par la galerie.
« Elle ». Écrit à Moretti, sur les conseils de Gatti, pour excuser le fait que Penent n’ait pas passé son dessin dans « En Jeu » (le Mur de Berlin). Déjeuner restau avec Clerc. Vu Anne-Noëlle. Pat en Inde pour 20 mois.
Vu aux Sablons Pelgrand (ce que je dois réclamer comme augmentation).
21 h 25 Austerlitz. Train pour Villefranche-de-Conflent.
17 janvier 1984
Vers 9 h à Villefranche. Ariane et Patrick. Partis à Vernet où ils habitent. Promenade, déjeuner. Sieste.
18 janvier 1984
Peu dormi. Pas bougé. Réfléchi au voyage, Chine, Lhassa, selon visa.
Aprèms, monté à l’abbaye de St-Martin-du-Canigou. Déserte. Pas vu le seul moine, le père de Chabannes (pensé à Alexis de Chabannes, mon copain de Condorcet en 39-40). Dîné à Villefranche au restau de la gare.
Cdf à Bouguereau : n’a toujours rien décidé faite de l’avis de Sabathier. Rappeler.
19 janvier 1984
13 h 15 car à Vernet. 14 h 45 Perpignan. Pluie. Buffet de la gare. Toute neuve (Dali a survécu au )
Toulouse 17 h 52. Rue des Lois. Personne. De là, rue du Taur. Gatti, Hocquard, Hélène. D. m’explique son opéra (la dernière chose qu’il fera avant le dialogue avec la mort). Hôtel du Taur. De nouveau rue des Lois où Dante parle de Confucius et Châtelain de Russes. Hôtel du Taur (200 F la nuit), chambre 32 après grand dîner place du Capitole.
20 janvier 1984
Petit-déjeuner chez Châtelain avec Dante. Déjeuner dans le mouchoir de poche rue des Lois avec Dante et Hélène. Retour chez Dante où je lis pendant trois heures le film opéra (je suis le 1er lecteur). Tous les thèmes de ses pièces y sont, rebrossés autour de l’histoire d’Érika von Brockdorf. Le soir, en voiture avec Stéphane, Dante à Albi au Centre culturel où l’on donne la pièce d’Arce (La Poule). Séonnet, Stéphane aux commandes et Véronique. Revu Gilles Durupt, salué l’auteur. Vu la cathédrale. Et c’est quelque chose. En rentrant, cru trouver la première phrase du Lac – et peut-être est-ce vrai. Gatti (quand je lui parle de ma défaite en appel avec Volkoff) : « On ne m’ôtera pas de l’idée que ce sont les juges allemands qui ont rendu possible l’avilissement du « .
21 janvier 1984
Train Paris 14 h.
22 janvier 1984
13 h Élysée. Désert. Déjeuner avec Éric Orsenna dans son « appartement de permanence » (il est le responsable de tout le dimanche, à son tour) avec Braudeau et un type de chez Lang et quelques autres (7 en tout, moi compris). Très bon comme chez Rothschild : ce sont les qualificatifs.