Par le RER ligne D, allé à Sarcelles voir Gatti – en compagnie de Georges Samarkos, heureux comme tout. Vu d’abord les 40 ou 50 stagiaires en répétition de Kung-Fu. Puis Durupt nous emmène déjeuner à la cantine du foyer des jeunes travailleurs puis retour à la salle Pablo Neruda : vu Gatti (à qui je donne 2 photos prises sur la tombe de Théo à Marcollès). Assisté à un « cours » de Gatti : exercices de marche, de rassemblement, d’organisation sous son contrôle. Scénettes dont il s’agit de deviner le thème, etc. Vu aussi Stéphane. Rentré vers 17 h. Message pendant mon absence : de M. Gerstein. Il rappellera ce soir. Lettre très intéressante d’une cousine de Gerstein.
Catégorie : juin 1996
Allé à midi à l’école Lecoq voir les travaux des « 2e année ». Pas vu L. Bourgeois.
B. nerveuse, désespérée, parlant de suicide (« Je ne peux plus rien faire comme une vieille de 80 ans »), pleurant au téléphone.
Déjeuner aux Négociants avec Florent Brayard, auteur de « Comment l’idée vint à M. Rassinier ». On sera amis, je crois.
Déjeuner du côté de L. Bourgeois et de l’école Lecoq. Cdf de Weisenfeld (le garde forestier Martin Gunther et mort à Oldenbourg). Yvonne Némarq téléphone à Fleurette, la femme du (faux) médecin est morte dans le Midi. C’était la fille de la tente Hermance et la sœur de Roger Némarq.
Cdf de Peter. Allouche lui a téléphoné que son papier allait passer (la semaine prochaine sans doute).
Téléphoné à R. Coste à Clermont-Ferrand, le fils d’un ami du père Gerstein. Aller le voir.
Fini au début de l’aprèms « Le Gardien de sa sœur ». Ouf. L’aprèms, vers 16 h, place St-Sulpice : visité l’église et ses 3 Delacroix puis le marché de la poésie. Vu Mouna monté sur un banc, Serge Martin de l’Encre vagabonde et Gilbert Desmée (Sapriphage). De là, avec Jean Michaud, Anna et quelques autres Polonais, chez d’autres Polonais de la rue Bonaparte devant l’écran allumé d’un match de foot (Angleterre-Espagne). Le soir, rue Custine, c’était France-Espagne.
Cdf vers midi de Georges Guy. Des siècles qu’on ne s’est vus ou parlé. Promesse réciproque de se voir. Il habite du côté de Lyon.
20 h 30 rue Trapon, club de l’Étoile. Projection de « Parfait Amour » de Catherine Breillat. Ni vraiment bien, ni trop mal. Parti sur un verre de vin rouge.
À Pantin : enterrement de Fleurette Bruant (Némarq). 84 ans. Vu Yvonne et Roger Némarq, leur fils, Monique et son mari. Une petite vingtaine autour de la fin d’une vieille histoire d’amour. Avec Monique et son mari, ensuite, visite des tombes (son père : l’oncle Henri et la famille Pariente) – les collectives, les souvenirs d’Auschwitz. Décidé Monique à écrire ce dont elle se souvient de Bergen-Belsen (déportée à 7 ans). Le Jean Zac là aussi – et Léa.