En voiture avec Litran à Orly. Arrivés en retard. L’avion était là depuis 6 h 30. Flashes. Vu S. et Béa, plus Gomel, Clavel, de Félice, Me Pélissier, etc. Litran, égaré ne fait rien. Rentrés à PM.
Appris que Gilles Sandier rewrite des papiers politiques à PM !
Vu Dubois – qui est content : le Pétrus le recevra demain à l’hôtel.
Attendu cdf pour le R.V. Séligny dans mon bureau. Avec Litran et Normand, Gomel nous attend à une porte de service. En haut, Séligny, Béa qui lit des journaux sur son histoire, l’avocate Pélissier, Sophie Eve Hocquard. Séligny s’est posé une bouillotte sur les reins, la montre. Se fait donner la becquée par Sophie, puis par Béa (de la raie).
Catégorie : mai 1971
A l’imprimerie pour le papier Le Mire. On m’y apprend que Jean Vilar est mort. (Pensé à Gatti à qui il avait écrit après l’échec du « Crapaud-Buffle » une lettre que Gatti – chose rare ! – avait gardée.)
Gris
Achevé les Gens de blâme (sur Séligny et ses disciples).
Continué le Tch’an (Hermés)
Ping pong
Le soir à la TV, « le trésor de la Sierra Madre » pour la 3é fois.