Paris 7 h 30 ou 50. Beau temps aussi.
Catégorie : mars 1995
Allé à 15 h 15 dentiste (Marie-Claude surtout).
Repris l’aprèms le petit texte sur la danse avec Hitter. Pour la 1ère fois depuis longtemps, l’impression d’une délivrance de ma nullité (dépressive).
18 h Petit sonne. Ivre. Dit qu’il va être expulsé par le frère Penent (le magistrat fou). Je lui dis de revenir demain avec la lettre du notaire qui le prévient. Il s’en va. « Je suis quelqu’un de bien… Je suis sûr qu’on sera amis ».
Gris. Frais. Envoyé lettre de soutien à Th. Marécourt condamné (pour manif antifasciste). Éric à Paris. Invité par sa banque – pour 2 à 3 jours.
Gris et froid.
Avec Beï, chez le Dr Laroze (des points sur la figure à brûler).
À déjeuner Custine : Jacky Moreau. Toujours plus hâve. Mais il me semble aujourd’hui que je ne vaux pas mieux. Vent et tempête tandis que j’essaie de travailler au grenier. Grêle quelques minutes.
Pluie, froid, neige. Dentiste à 15 h. Départ d’Éric pour La Seyne.
Très froid. Dentiste 12 h 15. Cdf à Mme Marriot : son mari est mort (maison de retraite). Télé dans la soirée : les 70 ans de Boulez. Dirige un magnifique « Mandarin ». De Vienne (en 92).
Mal fichu. Beau soleil froid.
Dentiste 16 h. De là, avec Peter Kunze, à la bibliothèque de Tolbiac (pour une invitation à visiter). Déception : architecture de sous-préfecture qui s’en croit – sans sauver les façades idiotes, seules des défilés de lettres jour et nuit, offrant aux images l’essentiel de la pensée humaine. Rentrés dîner. Beï pas encore là. Attendu avec les guignols, le journal télé et la cassette de Métropolis (horriblement sous-titrée). Lecture par Peter de quelques poèmes de Lasker-Schüler.