A midi, au camp Robert où nous prenons l’apéritif avec les Woignier (grande discussion politique). À Cannes, vu les Diwo, puis la carte d’entrée. Puis, Monaco, où je largue chez Caillaud les 3 zèbres – dont un Monloup pâlot, éprouvé par les mauvais repas et les lacets de ce voyage dégueulasse (J. Bouise). À Grasse, à 9 h du soir, toujours sous la pluie.