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1985 carnets janvier 1985

17 janvier 1985

Train pour Stuttgart-Tübingen à 7 h 50. La neige vers l’Est. Lecture d’une enquête sur l’Afrique du Sud. Seul dans le compartiment. Stuttgart. Retrouvé à la gare Peter Kuntz. Train de Tübingen. Arrivés vers 17 h 30. Taxi. Hôtel Katharina dans les hauteurs. Cdf à Mme Gerstein : on y va à pied par la Philosophenweg enneigée. Il y a de la neige partout. Très froid et brumeux. Thé, jambon, tartines – et parlé jusqu’à minuit. Nouveaux docus. Découverte d’un M. Roques, retraité qui correspond avec Mme Gerstein et a entrepris, sans le lui dire, de prouver que K.G. est un mythomane. De la faurissonnerie. Elle est sidérée. (Un bouquin de Decaux avec son émission du K.G., complétée par la discussion sur les allégations du sieur Roques se trouvait chez elle, mais elle ne l’avait pas lu, faute de traducteur.) Samedi, nous verrons le fils aîné, Arnulf. Rentrés à pied toujours à l’hôtel – mais je gèle.

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