Alger ne cède pas encore : Ortiz invite les Algérois autour du « camp retranché », à assister à la messe, à communier sur les barricades. Toujours le St Esprit bénissant la pire réaction fasciste. L’armée semble hésiter. Les syndicats unis avec de Gaulle. Un genevois excité et à demi ivre, dit le garçon, est venu hier soir me réclamer pour me casser la figure. On l’a aiguillé sur la chambre de Géry. Puis, la police est venue.
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