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1959 carnets mai 1959

6 mai 1959

Vu Dubois qui parle de Dante (« Il n’a pas que des amis ») et de Boulez (son ingratitude envers le Souvtchinsky).
Obtenu, à force d’insister, que la conférence quotidienne reprenne. Chabrun, des « instantanés » (en « perdition »), va faire un papier. Lui, Collin, Ken, j’essaie de les amener chez moi. Vu Cavalcante, journaliste brésilien, qui m’apporte des coupures de presse (sur mon livre). Il veut en faire la traduction.
À 18 h chez Bedel, rue de l’Estrapade (maison de P.L. Courier). En l’honneur de D. Desanti. Vu Gojurkei, ambassadeur de Pologne (celui qui a extirpé à de Gaulle une phrase sur la frontière Oder-Neisse), R. Grenier à qui j’ai parlé de Fénéon, TSP et son mari, à laquelle j’ai remis l’Enclos, une photo et le projet Thérond.

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