Il y a tant de bien à faire vivant qu’il faut reculer aussi loin que possible l’heure de sa disparition par simple compassion pour les autres.
Catégorie : mars 1995
Superbe journée de précoce printemps.
Beau et froid. Déjeuner avec Nicole Piantanida rue Lamarck dans un restau qu’elle doit expertiser pour Gault et Millau. Pris le train de Prades le soir.
Prades matin, taxi puis Ariane et les piots. Un peu frais. Montre à remonter, carte pour Peter, tourne-disque.
Avec Beï dans Prades. Les courses. Rendu visite au fils Lask.
Beau. Chants d’oiseaux, fleurs de cerisiers. Cherché les enfants à l’école en compagnie d’Alex Lask. Arrivée d’Éric pour deux jours vers 11 h 30.
Réflexion de la piote (Marion) sur mes frères « juifs aussi ? »
11 ans de Clément. 114e anniversaire de la Commune. 1er anniversaire de mon abstinence (tabac). Dîner restau avec les 3 Ariane, Éric, les 3 Lask (1 500 F – dîner très moyen – mais le Pommier n’était pas ouvert).
Journée magnifique. Éclat et chaleur.
Beau ciel et grand vent froid. Les nouvelles : attentat au gaz de combat (sarin) dans le métro de Tokyo : 6 morts, des milliers de blessés. B. Tapie en mauvaise posture au procès de Béthune (OM-Valenciennes).
Ciel bleu. Chaleur. Avec Beï au marché de Prades. Mendiants, vendeurs à la sauvette, clowns, homme-mannequin.
Malaise vers 17 h, peu avant de prendre le train. Vomi. Train à Prades 18 h 26.